Bonjour. Je trouve, au contraire de beaucoup de commentaires présent ici, que tes paroles ont une certaine sagesse. Si l'on as un chez soi c'est bien pour pouvoir y vivre sans devoir s'inquiéter à chaque secondes de ce que l'on peu faire. Quand j'ai besoin de calme je m'isole avec un bon casque

et quand le casque ni les boules quiès ne suffisent ? quand les infrabasses des bruits de pas te touchent le plexus, ou te traversent le corps du cortex jusqu'à aux pieds, et te réveillent en sursaut 4 ou 5 fois dans la nuit ? c'est ce que je vis actuellement, vivant seul et avec 9 indiens la plupart sans papiers (je ne vote pas le pen je précise), ne parlant pas français et entassés dans 25 m2 au dessus de chez moi (véridique, à Paris 18ème). Ni le syndic ni les flics n'y font rien. Ni les autres voisins boboïsant auprès desquels je passe pour le caractériel de service, et qui ont cette fameuse "sagesse" que tu préconises. Je te laisse imaginer l'enfer, et je ne peux pas déménager actuellement. donc c'est xanax à haute dose, entrecoupé de pétages de plombs avec les voisins et séjours réguliers chez ma mère que ça saoule plus qu'autre chose. Voilà ce que peut être le quotidien d'une personne victime de bruits de voisinage.

j'ai la même aussi et en prime elle hurle sur ses gosses comme une poissonnière sans exagérer toute la journée et son lit grince ...