Ou est-ce que t'as vu qu'elle l'imposait ? Elle s'est pas amené enceinte ou dit "bon, j'ai arrêté toute contraception, ce soir on fait un gamin" Elle a juste dit ce qu'elle voulait, en rien elle ne l'impose.

je ne pense pas que l auteur lui est mis un couteaux sous la gorge en lui disant fait moi un gosse cette année. je pense plutot qu elle lui a signifier qu elle se sentait prete a accueillir un enfant. tous les couples qui font un enfant ne le font pas par betise mais par envi de fonder leur famille donc si il avait largement le choix entre plusieurs solution que de fuir dont celle d expliquer a sa copine qu il ne ce sentait pas pret a etre papa mais que avec les annees cela changerais il n est en aucun cas pris en otage

Une personne dans un couple veut un enfant. L'autre non. La suite logique étant la séparation. Donc, oui, c'est imposé dans un sens; pas aussi fort que l'exemple que tu décris, il est vrai. (j'ai déjà vu quelques relations se terminer à cause de cette fascinante connerie qu'est la pression sociale sur ce sujet, donc bon. ~~) #73 > Ah mais clairement, la discussion c'est mieux. Là j'essaie juste d'expliquer que sa réaction, un peu immature, ne mérite pas qu'on lui tape autant dessus.

mea culpa je n avais pas compris dans ce sens

Bah la suite logique n'est pas forcément la séparation. C'est pas parce qu'on ne veut pas d'enfant à un moment X qu'on en voudra jamais, c'est pas rare dans un couple que l'un ait envie d'enfant avant l'autre et c'est un problème tout à fait gérable, du moment qu'on discute au lieu de prendre la fuite. Et quand bien même il sait qu'il ne voudra jamais d'enfants et que leur séparation est inéluctable, ça reste minable de finir une relation, probablement sérieuse, de cette manière. Ne même pas avoir le courage de rompre clairement et préférer prendre la fuite sans un mot avec un prétexte pourri c'est plus qu'immature, c'est méchant envers l'auteure et d'une lâcheté impressionnante.

Le mot existera tant que des gens l'utiliseront, de même que caissier et femme / homme de ménage. On ne peut pas décider de l'existence d'un mot, ou limiter le vocabulaire des gens à ce que l'on pense être le «bon» vocabulaire.