Décidément aweberry vous êtes bien prompt à juger. Par expérience, je sais que les repas d'anniversaire organisés par les parents ne sont pas forcément fidèles aux goûts des enfants ; en plus, comment pouvez-vous affirmer que l'auteur a mangé le lapin ? Pour finir, vous qui ne mangez que des animaux pour lesquels vous n'avez jamais eu d'affection, vous ne vous trouvez pas incohérent d'accorder de la valeur à la vie des uns et pas des autres, sur ce simple critère ?

C'est ce qu'on fait tous, non? En France, on ne mange pas de chien, en Inde on ne mange pas de vache. Chacun a ses raisons (les miennes s'appuient plutôt sur le fait que certaines espèces sont douées de sentiments et d'intelligence et je n'aimerais pas manger un animal avec lequel je pourrais avoir une interaction agréable), et tant que la personne est en accord avec ses actes, alors je peux comprendre. Mais quand on ne sait pas si on veut un animal pour compagnon ou pour repas, là ça me dépasse.

Si un être vivant est con, on a le droit de le manger donc ? Ça marche pour les humains aussi ? Plus sérieusement, la question n'est pas de connaître leur degré d'intelligence, ce qui est subjectif, même pour les humains, mais de savoir s'il ressentent la douleur et si c'est le cas (et C'EST le cas) de savoir de quel droit on se permet de leur infliger et de leur voler leur vie alors qu'on peut l'éviter. Point barre.

C'est surtout que plus l'animal est intelligent et "émotif" plus il a de chances d'être malheureux pendant son élevage et de comprendre ce qui lui est destiné.

Cf Alice au pays des merveille et Hannibal Lecter ...