Par happy halloween! - 31/10/2013 17:09 - France
Par Nouvelami - 01/12/2015 15:07 - France - Saint-denis
Bel effort, mais…
Par Euraria - 25/11/2024 12:15 - France - Virsac
Par DanD - 31/10/2008 09:12
C'était mieux Avent
Par lovechocolate - Ça date de 2010 mais c'est de la bonne - France
Crise énergétique
Par Anonyme - 02/10/2024 22:22 - France - Grenoble
Par Applique - 04/07/2016 11:40 - France
Bzzzzz
Par AdemarEUSEBIOU - 07/12/2013 22:10 - France
Par paspipi - 27/09/2010 11:50 - France
Par rom - 07/06/2012 07:18 - France - Monteux
Par Mouais - 09/11/2017 06:00
Surprise !
Par Anonyme - Ça date de 2014 mais c'est de la bonne - France - Dammartin-en-serve
Par Anonyme - 13/08/2011 23:04 - France
Par manque2bol - 26/08/2008 06:57
Par Shania Wolf - 01/09/2014 14:27 - France - Montpellier
Shania Wolf nous en dit plus
Lent au démarrage
Par Michel - 15/12/2008 23:51
Par magicmimi - 23/10/2016 19:37
magicmimi nous en dit plus
JE SUIS L'AUTEUR de la VDM, je crois que je vais toujours publier sans me connecter ça fait la deuxième fois qu'on me publie quand je connecte pas et je suis jamais publiée quand je le suis. Bref, la personne a fini par le faire quand l'ouvreuse est venue voir si nous avions réussit à changer elle a eu honte et s'est déplacéee. Evidement en on n'a ni parlé ni fait de bisous (surtout que les B sont aux deuxième rang) mais ça reste mieux d'être à coté tout de même
Par Sombrero - 30/06/2012 15:41
J'ai hâte d'y être !
Par Lilith - 27/04/2024 10:20 - France - Champtoceaux
Artiste contrarié
Par Karg1 - 11/07/2019 07:30
Par DeXteR - 20/05/2012 12:22 - France - Saint-quentin-fallavier
Par Anonyme - 07/05/2017 14:00
Par Caro38 - 07/05/2014 05:10 - Chine - Wuhan
Caro38 nous en dit plus
Je suis l'auteure de cette VDM! Je ne pensais pas qu'elle serait publiée, du coup je me suis créé un compte pour répondre aux commentaires... Pour ceux qui ne connaissent pas la Chine, il faut savoir que même dans les grandes villes, ça reste rare de croiser une blonde. De plus, les chinois n'ont pas vraiment le même sens de la pudeur que nous... Beaucoup vont aux toilettes la porte ouverte sans que ça gêne personne. Je ne pense pas que la dame qui m'a prise en photo pensait que je changeais mon tampon, (enfin j'espère, sinon c'est un peu glauque) mais ça m'a un peu gênée quand même :p
Par yoshi06 - 22/03/2015 18:06 - France - Barberaz
yoshi06 nous en dit plus
Salut tout le monde je suis l'auteure de cette VDM et ravie de voir qu'elle a été publiée :) Et oui, tout ça m'est bel et bien arrivé avant hier! Bon, j'exagère un peu dans la VDM quand je dis qu'ils sont restés une demi heure : ils sont partis au bout de 15 min, mais honnêtement, c'était le quart d'heure le plus long de toute ma vie je crois! Je ne sais pas comment j'aurais fait si, comme certains l'ont dit, ils étaient restés dormir dans le salon :D Quand on y pense, c'est vrai que j'ai effectivement eu un bol pas possible dans ma VDM : aucun des garçons n'a eu envie d'aller aux toilettes! J'étais tellement stressée que j'ai éteint la lumière, je ne bougeait pas d'un pouce (l'idée de lire des journaux pour patienter était donc impensable^^) et je ne vous dit pas le soulagement que j'ai ressenti quand ils sont ENFIN partis! En tout cas, merci à tous pour vos commentaires, vous m'avez bien fait rire ;)!
Par momo - 02/03/2009 20:06
Astuce déco
Par Debby - Ça date de 2012 mais c'est de la bonne - France
Par jlavaipavu - 20/06/2011 07:48 - France
Par Anonyme - 21/03/2016 17:33 - Royaume-Uni - York
Par Wannabefree - 18/06/2014 09:17
Wannabefree nous en dit plus
Publié ! Yeah! Je suis l'auteur, et, je l'avoue, je ne suis pas l'élève qui a eu ce réflexe : je suis le prof qui a sorti ce mot... et un élève a effectivement réagi en disant "Ah bon ?" et en scrutant les murs. Sa classe était morte de rire, et deux secondes après il a ri avec nous. C'était il y a quelques années déjà : une classe de notre lycée, qui est plutôt "ouvert" avec des grandes pelouses et des arbres, était en voyage pour la journée à Paris. Pour manger, côté pratique, notre intendance nous avait réservé des repas au lycée Condorcet qui était proche de nos lieux de visite. Et le look de Condorcet - que j'ai bien aimé - tranche énormément avec celui de notre bahut. Les élèves ont été très impressionnés par la hauteur des murs, le gris de la cour pavée, l'absence d'arbres... l'un d'eux a lancé qu'il devait être difficile de sortir pour sécher les cours quand on est élève ici, et j'ai ajouté : "oui, ils ont posté des snipers pour les élèves qui se sauvent". Vous connaissez la suite. Je ne m'y attendais pas et on en a bien ri après coup. Et en repartant, les élèves m'ont juré que jamais plus ils ne diraient du mal de notre lycée, tant il leur a paru agréable, verdoyant et vaste à côté du lycée parisien.
Mots-clés


Bonjour à tous, je suis l'auteure de la VDM, c'est le moment des remerciements tout ça tout ça, je suis super émue, merci à mon metteur en scène... Et les voilà, les précisions, qui arrivent à la rescousse ! Je m'excuse par avance, je ne sais guère être concise ! Décor : Alors, pour éclaircir un peu les faits, ce n'était pas vraiment un appartement mais une forme de logement un peu spéciale. A l'époque des faits (il y a environ 6 mois de cela), j'étais en Erasmus en Norvège, et là-bas les résidences étudiantes habituelles sont assez différentes d'ici. En fait, ce sont de petites maisons d'un ou deux étages, composées d'en général quatre à huit chambres autour de pièces communes. En revanche, pas de continuité entre les bâtiments, ce qui impose de sortir dans la neige pour aller faire sa lessive ou... jeter les poubelles. Et j'admets qu'en pleine nuit polaire, c'est pas marrant, j'ai préféré faire ma lessive à la main pendant deux mois perso. Dans mon lotissement, les bâtiments comportaient six chambres, deux salles de bain et une cuisine. Une cuisine pour six donc, et à chacun sa semaine de sortir les poubelles. En outre, le tri sélectif c'est du sérieux là-bas, donc à part les devoirs dont on n'est pas fier, tout va dans sa poubelle attitrée dans la cuisine. Je ne pense pas que qui que ce soit ait gardé des déchets organiques dans sa chambre, ce qui est déjà une bénédiction. Prélude : Les faits, en vérité, comportent une certaine ironie. D'abord parce que ledit colocataire avait emménagé dans cette maison environ trois mois avant moi. Ensuite parce que moi-même, un mois après mon arrivée, me suis rendue compte que non seulement j'avais raté mon tour de sortir les poubelles (toute imprégnée que j'étais du planning de mon ancienne résidence), mais qu'en plus je n'avais pas la moindre idée de l'emplacement du local à poubelles. Il faut dire que c'était un truc un peu spécial, une sorte de tube près de la route traversant le lotissement, dans lequel on a l'impression de pouvoir verser des ordures à l'infini, et que personne ne vient jamais vider. Bref, une technologie exotique. Un mois après mon arrivée, donc, je n'avais pas encore répertorié la chose, mais je ne voulais surtout pas demander à mes colocataires, car alors ils s'apercevraient forcément que j'avais raté mon tour la semaine précédente ! J'ai donc attendu deux semaines, le début des vacances de Noël, que tout le monde, moi exceptée, rentre dans son pays, et c'est là que j'ai entrepris mon enquête. A ce stade, j'ignorais tout autant à quoi servait ladite clef, persuadée que le local à poubelles était un bâtiment en dur s'ouvrant grâce à la même carte magnétique que la laverie. J'ai donc passé une demi-heure à errer en pleine tempête de neige avant d'avoir la révélation. Ouf ! Mon honneur était sauf, ma dette payée, l'affaire ne parviendrait jamais aux oreilles de personne ! Les faits : Un mois passe alors, et le fameux colocataire revient pour le second semestre. Tout semble bien se passer, et le remplacement d'une colocataire créé même une distraction suffisante pour étouffer une crise au sujet de la vaisselle et bouleverser le planning : mon précédent manquement à mes obligations est ainsi définitivement noyé. Encore quelques semaines s'écoulent dans la plus parfaite nonchalance, même l'affaire de la vaisselle sale finit par se tasser, quand soudain, au détour d'une conversation parfaitement anodine, il lève le regard sur moi et, le trousseau à la main, me pose LA question. Me reviennent alors toute ma confusion, mon désarrois, ma terreur à l'idée que soit découverte ma terrible indignité... Mais lui, ça n'a pas l'air de le perturber le moins du monde d'apprendre ainsi la nouvelle après six mois à vivre là. Pas même l'ombre d'un rougissement sur ses joues laissées blanches par la nuit polaire. Juste un vague acquiescement qui laissait entrevoir l'intérêt parfaitement nul qu'il accordait à cette annonce jugée non pertinente. Conclusion : Au final, cela n'a guère fait que confirmer une impression que j'avais déjà depuis un moment : le planning n'était en fait qu'une vaste mascarade, qui avait commencé à s'affaiblir à peu près à l'époque de mon arrivée, et était pratiquement tombé en désuétude suite aux vacances de Noël. Si pendant six mois personne ne s'était aperçu que certains manquaient à leurs obligations, pourquoi craindre une quelconque réprobation ? Bien vite les sacs poubelles se mirent à s'entasser dans le couloir où on laissait les chaussures, et à former un joli petit muret décoratif qui balisait les escaliers. C'est ce qui m'avait été laissé sur les bras à Noël, ainsi que toute la vaisselle sale (n'en étant en rien responsable - c'étaient en vérité le même colocataire et celui qui était définitivement parti à Noël - je n'en avais lavé que la moitié avant de laisser le reste anonymement dans le lavabo, ce qui avait engendré la fameuse crise de la vaisselle), et le tout s'est reconstitué à une vitesse effrayante. Bon, dans l'ensemble, ce n'était pas trop horrible. Vu la température dans le couloir, les ordures devaient bien se conserver, je suppose, et de temps en temps l'un de nous trouvait le courage d'embarquer quatre ou cinq sacs (ils étaient minuscules, ndlr) avant d'aller courir après le bus. C'était pas joli à voir, mais au moins y'avait ni vermine ni odeurs. La vaisselle, en revanche, continua d'être source de conflits, dont je faisais en sorte de me tenir bien éloignée en cachant dans ma chambre les verres que j'avais la flemme de laver sur le coup - jusqu'à ce que, les réserves de toute la maisonnée s'épuisant, je décide de tous les restituer, le regrettant aussitôt en comprenant que tout le monde agissait de la sorte. Et, joie suprême, demeurant dans le groupe facebook du bâtiment bien qu'étant de retour en France, j'ai pu assister il y a quelques semaines à l'habituelle engueulade de rentrée quant à la vaisselle laissée sale pendant les vacances ; joute à laquelle tous participent joyeusement - même la norvégienne que j'ai vu deux fois dans l'année et dont je n'ai jamais su le nom - avec pour contre-attaque favorite le rappel des antécédents de tout un chacun : n'ayant point été citée, j'ai ainsi l'honneur d'être officiellement passée sous le radar ! Ce dont il n'y a guère matière à s'enorgueillir, le colocataire ici en question étant aussi parvenu à se faire oublier... Ainsi s'achève l'affaire, désormais laissée à la postérité.