Oue enfin en prépa aussi il y'a du boulot , la différence avec la P1 c'est que c'est sur deux ans que t'es plus encadré mais la P1 comme la prépa ont leur lot de stress , de boulot . En tout cas bon courage tu es bien parti ! :)

Je ne suis pas sûre que jouer les ermites soit forcément payant. On en arrive surtout à des états de stress comme celui décrit dans la VDM. Conserver une vie sociale permet d'être plus serein, ce qui permet de réviser de manière plus efficace. C'est comme pour le sport de haut niveau. Le repos est aussi important que l'exercice.

Perso je suis en p1 et je préfère aborder les choses avec philosophie plutôt que de me mettre la pression. A mon avis penser au concours chaque jour, être continuellement stressé est contreproductif. Ceux qui se démarquent sont justement ceux qui arrivent à gérer leurs stress comme ça a été dit plus haut. Et sincèrement, ok la p1 c'est super dur moralement mais c'est pas non plus l'enfer. Donc je suis d'accord avec certains qui trouvent que des p1 pensent qu'ils sont dans la filière la plus dure etc.. C'est pas comparable avec la prépa mais je pense qu'eux aussi ont une certaine pression sur leurs épaules. La difficulté repose dans la sélectivité du concours mais le réussir est, je pense, accessible à tous. Bref, dites vous que ça vaut le coup pour faire le métier que vous aimez et qu'un an dans une vie, c'est rien. Courage les gars, c'est bientôt fini ! :)

Bah le truc en prépa c'est que certains sont là par hasard donc ne foutent pas grand chose, d'autres visent de petits concours donc ne veulent pas réduire leur vie sociale à néant. Mais quand on espère avoir les meilleurs concours, je pense que l'on bosse autant voir plus qu'en médecine. Tout dépend de notre projet personnel. Je suis en prépa littéraire et même si je suis dans les meilleures de ma classe je sais parfaitement que je n'aurai sûrement pas de concours à la fin de mon parcours si je ne me mets pas à bosser sérieusement. ( En gros plus que mes 3/4 h par jour quand je suis vraiment obligée. ) Tout simplement car le concours de l'ENS prend une vingtaine de personnes sur des milliers d'étudiants. Quant à la PACES... Disons que les étudiants qui ne dorment plus, ne vivent plus et ce à cause du travail, même s'ils finissent par avoir le concours il est probable qu'ils souffrent dans les années à venir. Contrairement aux préjugés des P1, le travail n'est pas moins important, bien au contraire. Le Stress non plus puisqu'il s'agit de bosser pour l'internat, et là, la concurrence est à l'échelle nationale. Mon frère est en quatrième année et il bosse toujours comme un malade. Après bien entendu tout le monde sait que le stress est presque insoutenable. Toujours est-il que dans mes amis en PACES, ceux réussissant actuellement le mieux sont ceux qui travaillent calmement en se disant " j'aurai mon année " et non pas ceux qui ont déjà perdus 5 kilos et refusent constamment d'aller boire un verre avec nous, les prépas feignants :).

Franchement du côté du niveau de stress je pense que ça dépend des gens. Bon effectivement personellement je ne suis pas stressée à ce point en permanence. Mais il m'est arrivé d'avoir des pics de stress tels que pendant une semaine j'étais crevée et je luttais comme une folle pour arriver à travailler parce que j'en pouvais juste plus. Et pourtant je suis arrivée 6ème sur 1000 étudiants à mon concours. Le stress peut être un très bon booster dans certaines périodes parce que le problème de l'absence de stress justement c'est de le prendre à la rigolade et de se rendre compte après coup qu'on a sous-estimé le truc. Donc si ça se trouve l'auteur de la vdm étais juste dans ce genre de sale passe qui, à mon avis est tout à fait normale pour n'importe quel PACES et celui qui n'est pas passé par là n'est pas né. Bon après j'ai jamais dit que la prépa c'était la blague non plus, si tu le fais pour les meilleurs écoles c'est clair que les places sont bien plus chères et bien plus limitées. Mais côté boulot je te permets pas de dire que c'est pire que la P1, mais ça doit être équivalent. 12h de boulot par jour en concentration max, 6h de boulot par nuit, 200 pages de cours par coeur chaque semaine... Remarque on se retrouve à l'ECN et là on découvrira que l'enfer n'est pas qu'une légende ha ha ah.. EDIT : Je dois faire partie des gens qui ont perdu ces 5kg dont tu parles dans le semestre et pourtant je ne m'en tire pas si mal :)

S'il existait une méthode brevetée pour réussir ses études, je pense que ça se saurait. Pour la p1 en l'occurrence (puisque c'est ce que je connais), chacun son style, il y en a qui réussissent en vivant en ermite, d'autres qui réussissent en s'accordant plus de loisir et de liberté de temps à autres, il y en a qui vont l'avoir en ayant perdu 5 kg, d'autres en ayant gagné 5... Encore une fois l'important c'est d'adopter la méthode qui nous convient. Donc ça m'agace un peu de voir sur cette page des gens sous-entendre (ou carrément affirmer) qui si on stresse trop on va rater sa p1, que si on ne fait que bosser on va mal le vivre par la suite ou autre truc du genre.

Non mais les 5kg c'était plutôt une façon de parler, rassurez vous :). C'était surtout car une de mes amies se pourrit la santé à cause de sa P1 et à mon avis elle réussirait mieux si elle n'était pas dans un état moral aussi dégradé. On travaille tout de même mieux quand on a confiance en soi et qu'on n'est pas au bord de l'évanouissement constant. Puis bon, personnellement je prends du poids quand je stresse car je mange, donc c'était un exemple comme cela :). Et *90 ; je veux pas réellement dire que si tu stresses comme une folle tu ne réussiras pas, mais plutôt que quelqu'un déjà au max de ses capacités de travail en P1 va ramer par la suite car le travail devient plus lourd. Mais également plus intéressant. Le stress est de toute façon inévitable. Mais je sais que je réussissais mieux dans ma prépa au premier semestre quand je me moquais du classement que maintenant que je suis obsédée par mes notes et par celles des autres.

"je veux pas réellement dire que si tu stresses comme une folle tu ne réussiras pas, mais plutôt que quelqu'un déjà au max de ses capacités de travail en P1 va ramer par la suite car le travail devient plus lourd" La encore, je me permet de te contredire. L'année dernière en PACES j'avais vécu le premier quad en mode ermite et hyper stressée, pour te donner un ordre d'idée sur les quatre mois mes sorties se résument à un cinéma et deux Mcdo entre midi et deux. Et au final j'ai eu un très bon classement, ce qui fait que j'ai pris le second quad de manière plus relaxée et en m'accordant plus de temps. Au final j'ai perdu quelques places dans le classement mais j'étais toujours dans le numérus, et cette année je m'en sors toujours bien, et avec beaucouuuup plus de temps pour moi. C'est pour ça que ça m'énerve de voir ce genre de phrases très affirmatives qui peuvent facilement décourager ou déstabiliser un PACES qui passerait par là et qui se reconnaitrait dans la description. Chacun a un vécu différent, et la façon dont on a du travailler en PACES pour obtenir le concours ne présage en rien des difficultés qu'on va avoir plus tard, principalement parce que le type de travail demandé en PACES est différent de ce qui est demandé les autres années. Par exemple, une fille de ma promo a eu sa PACES sans trop forcer, mais ça ne l'empêche pas de galérer quand même cette année, et même de galérer plus que certains qui travaillaient plus qu'elle en P1.

Oulala si le PACES se laisse décourager par un commentaire sur vdm par une fille avouant ne pas être en prépa c'est à se demander pourquoi il ne s'est pas découragé dès la première journée de cours. Toujours est-il qu'en voyant les livres que s'enfilent les étudiants préparant l'internat on remarque que le boulot est toujours voir plus intensif. Alors ouais, le stress diminue, puisqu'il suffit d'avoir la moyenne pour passer, mais plus l'internat se rapproche, plus il augmente. Donc certes, en P2 et P3 on se repose un peu et on relâche la pression mais une personne ayant du tripler sa P1 pour au final l'avoir de justesse ne s'en sortira sûrement pas sans travailler comme un malade. Simple question de logique. Sur ce, si tu veux m'informer de ta vision des études de médecine, sens toi libre de le faire par MP je préfère ne plus encombrer les commentaires :) .

Non, le participe passé de "faire" reste invariable quand il est placé devant un infinitif.

merci, je me coucherai moins bête !