Je dirais même presque que c'est plus une vdm pour la cliente que pour la caissière. Mais ayant été caissière, je me souviens avoir souvent demandé aux clients s'ils avaient vu que leur article était ouvert (au cas où ils auraient pris un paquet de gâteau déjà entamé sans faire attention par exemple ). Je pense que dans le cas de la VDM, je me serais sentie gênée :D

Ah bah voilà, ça m'apprendra à répondre à des commentaires avant de tout lire, c'est exactement ce que je disais. Pourtant, je suis un mec, mais je ne vois pas 1) en quoi ce serait sale, 2) pourquoi elle serait folle, et 3) pourquoi la lecture de cette anecdote aurait dû me couper l'appétit. Ça aurait été l'emballage d'un vibro ou d'une boîte de capotes, je comprendrais que certains soient outrés, mais là, tout ce que je vois, c'est une réaction logique et proportionnée à une situation a priori urgente et imprévue.

"diabolisé et rendu crade par les sociétés" : Malheureusement, on ne fait pas disparaître comme ça l'influence de la conviction véhiculée par l'obscurantisme de plusieurs religions anciennes de quelques millénaires...

Le pire c'est que le plus souvent se sont les femmes qui postent les commentaires "beuuurk" "ahh la crade" etc... ridicule! Evidemment elle n'a pas baissé sa culotte et enfilé son tampon en plein milieu du rayon puis léché son doigt pour enlever toute trace donc je vois pas ce qu'il y a de crade, c'est juste une situation qui change du quotidien de la caissière et donc c'est drôle :) Heureusement qu'il y a des hommes comme vous pour venir rattraper un peu les commentaires

@ InMeITrust, j'espère que le "Heureusement qu'il y a des hommes comme vous pour venir rattraper un peu les commentaires" ne m'étais pas destiné, je suis une femme :D

Si tu avais pris la peine de lire quelques-uns des commentaires un peu plus haut, tu aurais vu que les réponses possibles n'ont rien de glauque : elle faisait peut-être ses courses avec quelqu'un qui les a gardées le temps qu'elle sorte faire ce qu'elle avait à faire, elle a pu utiliser la relative -quoique spartiate- intimité d'une cabine d'essayage, elle a même tout simplement pu laisser son chariot dans un rayon, sortir pour accéder aux toilettes, puis ré-entrer pour terminer ses courses (sauf impondérable, j'imagine qu'il ne faut pas trois heures pour installer un tampon, petit nettoyage des éventuels dégâts compris). Après, l'auteure de l'anecdote n'a peut-être pas remarqué qu'une boîte de petites culottes jetables avait également été entamée, mais ça ne changerait pas grand-chose.