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TBTC nous en dit plus

Bonjour je suis l'auteur et je vais préciser quelques petites choses... Déjà, ce n'était pas "dégeu" ou "hard"... juste que ce n'était pas mon genre, je n'ai pas eu spécialement de relations dans ma vie donc je suis assez "classique" au lit. Ensuite, nous étions ensemble depuis trois ans et cela fait... quoi... quatre ou cinq mois qu'il m’embêtait avec ça... D'abord en insinuant, puis en cajoleries puis plus directement alors oui, j'ai fini par accepter. Qu'est-ce qu'on ferait pas par amour... Au final, je n'ai, comme je le pensais, pas spécialement apprécié et il a totalement plus profité que moi du moment... Autant dire que j'ai été assez "surprise" quand il m'a sorti ça. Heureusement, je n'en suis pas sortie complètement traumatisée et je ne risque pas de le regretter car, trop bonne trop conne comme l'ont dit certains commentateurs, oui... mais pas au point de pleurer pour lui !

pluchepluche nous en dit plus

Bonjour, celles (et ceux) qui ne sont pas passé(e)s par là ne peuvent pas comprendre. J'ai souhaité allaiter mon BB même si mon entourage était contre (c'est contraignant.....). Mon mari a respecté mon choix et m'a encouragé dans les moments difficiles. Suite à un problème de tétons, je n'ai pas pu allaiter mon BB directement au sein. La puericultrice de l'hôpital a proposé d'utiliser sur le sein une tétine de biberon et d'allaiter ainsi mon fils. Ca a super bien marché. J'ai tiré mon lait quand j'étais fatiguée et mon mari a pris le relais très vite la nuit. Je n'ai pas pu allaiter aussi longtemps que j'aurai aimé. C'est un sentiment certes contradictoire de se plaindre d'être fatiguées, mais quand on allaite son BB (même avec ma méthode) reste des moments merveilleux. Mon fils a gardé longtemps le souvenir de ces moments partagés à 3 !

womtaits nous en dit plus

Aaah ça a été publié, magie du net. Alors pour continuer l'anecdote, c'était en France pour aller en Irlande, et aussi étrange que cela puisse paraître, cette histoire ne s'est pas terminée tragiquement en fouille anale + 24 ans de taule au Myanmar. En vérité j'étais assez jeune à l'époque, je partais en compétition à Sligo avec tout un groupe de canassonneux, ce qui explique sans doute le regard amusé que m'a lancé le douanier lorsqu'il m'a vue bafouiller lamentablement suite à ma bourde monumentale, type "heu, enfin, c'est un casque d'équitation, enfin ça s'appelle une bombe, enfin, je suis désolée, enfin, pitié, ne me tasez pas...". En gros, il s'est foutu de ma gueule avec ses potes et il m'a laissée passer. J'ai eu un peu les boules je ne vous le cache pas. @28 : aussi choquant que cela puisse te paraître, le participe passé du verbe "dire" est bien "dit", c'est d'ailleurs pour cela qu'il s'écrit "dite" au féminin, à moins que je ne me plante misérablement. Enfin, petite rectification générale : je suis une fille, le "il" est donc un "elle".

petinavion nous en dit plus

petinavion 0

Là, c'était juste le pompon... venant de la part d'une personne qui n'a fait que râler et agacer tous mes collègues présents ce jour là, je n'ai pas été la seule à la remettre à sa place. De plus, comparer le tout au Moyen Âge était risible puisque la passagère avait fièrement et pompeusement annoncé qu'elle sortait d'un stage doctorant... en nous incendiant bien au passage que nous n'avions pas à la traiter de la sorte, comme si elle se prenait pour un chef d'Etat. Non, nous ne sommes pas là pour "faire chier le monde", comme nous l'entendons souvent. Mais pour prévenir plutôt que guérir. Notre métier n'est pas facile, car nous en prenons plein la figure pour pas un rond. Et, en effet, je suis d'accord avec un commentaire laissé par un collègue, les mesures ne nous plaisent pas forcément, certaines nous font rire tellement elles sont ridicules, mais nous n'avons pas le choix, la sécurité des gens est en jeu. Alors, en effet, il nous arrive de remettre des passagers à leur place, tant ils se croient au dessus du lot et des lois, nous insultent, nous envoient des objets à la figure, et certains de mes collègues se sont fait frapper. Dans notre boulot, une occasion pareille de rabaisser le caquet d'un passager se croyant suprêmement intelligent et nous méprisant ne se laisse donc pas passer. Essayez d'être sympa quand vous voyagez, nous le serons aussi avec vous !