tresor67

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ouvre les yeux avant de te marier car après le mariage tu ne pourras que les fermer... celui qui mange seul s'étouffe seul.... ne quitte pas la personne que tu aime pour la personne qui t attire car la personne qui t attire te quittera pour la personne qu elle aime..Celui qui veut faire quelque chose trouve un moyen et celui qui ne veut rien faire trouve une excuse.....

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Adnihilis app_comment_confession_title

Cool, ma VDM a été validée, c'est un honneur ! Comme vous l'avez tous deviné, cet épisode s'est déroulé au CROUS de Lyon (enfin, Villeurbanne, mais vu que c'est pas loin...), lorsque je devais prendre les clés de mon logement. J'avais envoyé mon dossier le 7 août, donc il y a de fortes chances qu'il l'aient reçu... Mais perdu ! Autant vous dire, comme l'ont dit certains, que j'avais bien envie de me transformer en Hulk, là. Pour ceux qui parlent d'hôtel... Je ne pouvais pas vraiment, parce que j'avais acheté mon billet de train pour le retour à l'avance, donc je ne pouvais pas vraiment rester... Et même, si je restais, je n'avais pas le dossier (qu'il a fallu refaire) sur moi, donc j'étais obligé de repartir et de revenir le lendemain... Ou un autre jour, et ce, c'est possible jusque lundi prochain, jour de la rentrée. La secrétaire a donc discuté pendant une heure au téléphone avec ma mère (à mes frais, tant qu'à faire) (enfin, je suis pas sûr que "discuté" soit le bon terme, ici...), tout ça pour finalement m'entendre dire "On vous réserve une chambre, et il faudra que vous rameniez le dossier la prochaine fois que vous viendrez, ou que vous l'envoyiez par mail." Finalement, à peine rentré le soir, ma mère a scanné tout le dossier et l'a envoyé par mail. On vient de recevoir la réponse de la secrétaire, mon dossier est complet, il ne manque plus que les photos d'identité, qu'on amènera quand on ira chercher les clés. Finalement, l'histoire semble donc bien se goupiller... Mais bon, connaissant l'administration française, et surtout le CROUS, je continuerais à me méfier tant que je n'aurais pas effectivement mon logement x). Merci pour vos commentaires, en effet, il y a des claques qui se perdent, parfois. Et comme tu le dis si bien, #15, le crous, c'est une hécatombe... j'espère donc que ça va s'arrêter là pour moi xD

Shania Wolf app_comment_confession_title

Bonjour à tous, je suis l'auteure de la VDM, c'est le moment des remerciements tout ça tout ça, je suis super émue, merci à mon metteur en scène... Et les voilà, les précisions, qui arrivent à la rescousse ! Je m'excuse par avance, je ne sais guère être concise ! Décor : Alors, pour éclaircir un peu les faits, ce n'était pas vraiment un appartement mais une forme de logement un peu spéciale. A l'époque des faits (il y a environ 6 mois de cela), j'étais en Erasmus en Norvège, et là-bas les résidences étudiantes habituelles sont assez différentes d'ici. En fait, ce sont de petites maisons d'un ou deux étages, composées d'en général quatre à huit chambres autour de pièces communes. En revanche, pas de continuité entre les bâtiments, ce qui impose de sortir dans la neige pour aller faire sa lessive ou... jeter les poubelles. Et j'admets qu'en pleine nuit polaire, c'est pas marrant, j'ai préféré faire ma lessive à la main pendant deux mois perso. Dans mon lotissement, les bâtiments comportaient six chambres, deux salles de bain et une cuisine. Une cuisine pour six donc, et à chacun sa semaine de sortir les poubelles. En outre, le tri sélectif c'est du sérieux là-bas, donc à part les devoirs dont on n'est pas fier, tout va dans sa poubelle attitrée dans la cuisine. Je ne pense pas que qui que ce soit ait gardé des déchets organiques dans sa chambre, ce qui est déjà une bénédiction. Prélude : Les faits, en vérité, comportent une certaine ironie. D'abord parce que ledit colocataire avait emménagé dans cette maison environ trois mois avant moi. Ensuite parce que moi-même, un mois après mon arrivée, me suis rendue compte que non seulement j'avais raté mon tour de sortir les poubelles (toute imprégnée que j'étais du planning de mon ancienne résidence), mais qu'en plus je n'avais pas la moindre idée de l'emplacement du local à poubelles. Il faut dire que c'était un truc un peu spécial, une sorte de tube près de la route traversant le lotissement, dans lequel on a l'impression de pouvoir verser des ordures à l'infini, et que personne ne vient jamais vider. Bref, une technologie exotique. Un mois après mon arrivée, donc, je n'avais pas encore répertorié la chose, mais je ne voulais surtout pas demander à mes colocataires, car alors ils s'apercevraient forcément que j'avais raté mon tour la semaine précédente ! J'ai donc attendu deux semaines, le début des vacances de Noël, que tout le monde, moi exceptée, rentre dans son pays, et c'est là que j'ai entrepris mon enquête. A ce stade, j'ignorais tout autant à quoi servait ladite clef, persuadée que le local à poubelles était un bâtiment en dur s'ouvrant grâce à la même carte magnétique que la laverie. J'ai donc passé une demi-heure à errer en pleine tempête de neige avant d'avoir la révélation. Ouf ! Mon honneur était sauf, ma dette payée, l'affaire ne parviendrait jamais aux oreilles de personne ! Les faits : Un mois passe alors, et le fameux colocataire revient pour le second semestre. Tout semble bien se passer, et le remplacement d'une colocataire créé même une distraction suffisante pour étouffer une crise au sujet de la vaisselle et bouleverser le planning : mon précédent manquement à mes obligations est ainsi définitivement noyé. Encore quelques semaines s'écoulent dans la plus parfaite nonchalance, même l'affaire de la vaisselle sale finit par se tasser, quand soudain, au détour d'une conversation parfaitement anodine, il lève le regard sur moi et, le trousseau à la main, me pose LA question. Me reviennent alors toute ma confusion, mon désarrois, ma terreur à l'idée que soit découverte ma terrible indignité... Mais lui, ça n'a pas l'air de le perturber le moins du monde d'apprendre ainsi la nouvelle après six mois à vivre là. Pas même l'ombre d'un rougissement sur ses joues laissées blanches par la nuit polaire. Juste un vague acquiescement qui laissait entrevoir l'intérêt parfaitement nul qu'il accordait à cette annonce jugée non pertinente. Conclusion : Au final, cela n'a guère fait que confirmer une impression que j'avais déjà depuis un moment : le planning n'était en fait qu'une vaste mascarade, qui avait commencé à s'affaiblir à peu près à l'époque de mon arrivée, et était pratiquement tombé en désuétude suite aux vacances de Noël. Si pendant six mois personne ne s'était aperçu que certains manquaient à leurs obligations, pourquoi craindre une quelconque réprobation ? Bien vite les sacs poubelles se mirent à s'entasser dans le couloir où on laissait les chaussures, et à former un joli petit muret décoratif qui balisait les escaliers. C'est ce qui m'avait été laissé sur les bras à Noël, ainsi que toute la vaisselle sale (n'en étant en rien responsable - c'étaient en vérité le même colocataire et celui qui était définitivement parti à Noël - je n'en avais lavé que la moitié avant de laisser le reste anonymement dans le lavabo, ce qui avait engendré la fameuse crise de la vaisselle), et le tout s'est reconstitué à une vitesse effrayante. Bon, dans l'ensemble, ce n'était pas trop horrible. Vu la température dans le couloir, les ordures devaient bien se conserver, je suppose, et de temps en temps l'un de nous trouvait le courage d'embarquer quatre ou cinq sacs (ils étaient minuscules, ndlr) avant d'aller courir après le bus. C'était pas joli à voir, mais au moins y'avait ni vermine ni odeurs. La vaisselle, en revanche, continua d'être source de conflits, dont je faisais en sorte de me tenir bien éloignée en cachant dans ma chambre les verres que j'avais la flemme de laver sur le coup - jusqu'à ce que, les réserves de toute la maisonnée s'épuisant, je décide de tous les restituer, le regrettant aussitôt en comprenant que tout le monde agissait de la sorte. Et, joie suprême, demeurant dans le groupe facebook du bâtiment bien qu'étant de retour en France, j'ai pu assister il y a quelques semaines à l'habituelle engueulade de rentrée quant à la vaisselle laissée sale pendant les vacances ; joute à laquelle tous participent joyeusement - même la norvégienne que j'ai vu deux fois dans l'année et dont je n'ai jamais su le nom - avec pour contre-attaque favorite le rappel des antécédents de tout un chacun : n'ayant point été citée, j'ai ainsi l'honneur d'être officiellement passée sous le radar ! Ce dont il n'y a guère matière à s'enorgueillir, le colocataire ici en question étant aussi parvenu à se faire oublier... Ainsi s'achève l'affaire, désormais laissée à la postérité.

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Centilitre 32

Hellooo, je suis l'auteure de cette VDM ! Eh bien, tant de commentaires en si peu de temps ? Je vous remercie, surtout que pas mal de vos commentaires m'ont bien fait rire (contente de savoir que certains ont la même grand-mère que moi !). Pour répondre à certaines de vos questions, je vais apporter quelques précisions. J'ai 18 ans, et ledit grand-frère 30. En fait, tous les ans depuis que je suis toute petite, je passe de deux semaines à un mois de vacances chez ma grand-mère pour les vacances (qui habite au bord de la mer, chouette), et parfois mon frère nous rejoint pendant quelques jours. Et bien que j'aie posté cette VDM comme si c'était une "surprise", en fait, elle m'a déjà fait ce genre de remarque de nombreuses fois, et je savais très bien que cela se passerait comme ça. Impossible de lui faire entendre quoi que ce soit : les filles doivent travailler, pas les garçons, et ça a toujours été comme ça. Dans mes souvenirs, la première fois qu'elle m'ait fait cette remarque, c'était quand elle passait quelques jours avec nous chez ma mère, il y a quelques années. Elle me demandait de venir vider le lave-vaisselle. Rentrant tout juste de l'école, et étant en plein de devoirs, je lui demande, agacée, pourquoi elle ne demande pas plutôt à mon frère (un autre, qui lui a 20 ans), au chômage et sur le moment entrain de jouer aux jeux vidéos, de le faire. C'est à ce moment qu'elle m'a répondu, presque outrée : "Mais enfin, tu es une fille, je vais pas demander à ton frère de travailler, où est-ce que tu as vu ça ?!". Heureusement, ma mère prend souvent ma défense sur ce sujet, lui disant que son principe est complètement idiot et de demander un peu à mon frère de l'aider plutôt que toujours moi. Je vous jure, quand elle est à la maison, pas une minute pour m'asseoir, elle m'appelle toutes les 5 minutes ! Ensuite, si vous vous posiez des questions quant à la réaction de mon frère (celui de 30 ans) dans ces moments-là... Eh bien il en profite bien ! Il est bien loin de me traiter comme une esclave, attention, mais il n'est pas non-plus dérangé par l'idée de me voir mettre la table, débarasser, passer le balai, ou encore faire SON lit tandis que celui-ci flemmarde sur son ordi ou sirote tranquillement un verre de rosé sur le balcon... *soupire* Mais bon, je vous rassure, ce n'est pas l'horreur non-plus, juste atrocement agaçant par moment. Mais à part cela, ma mamie est un amour et se démène tout de même pour nous faire plaisir en permanence, se pliant en quatre pour qu'on soit content de nos vacances et qu'on veuille revenir la voir. Je pense qu'elle ne se rend juste pas compte, elle a été élevée comme ça, et on a abandonné l'idée de la changer !