#16 "Les 2 autres se démènent comme des folles" => c'est de leur faute, elles n'avaient qu'à pas se démener, et demander l'embauche d'un CDD pour faire face. Ça m'a toujours sidéré les gens qui travaillent trop par manque d'effectif et qui se plaignent ensuite... si tu ne peux pas faire correctement ton boulot dans ton temps de travail, bah c'est qu'il manque des gens. Point.

#32. 100% d'accord. Si au départ y'a 3 personnes ce n'est pas pour rien. Si une des trois s'en va pour un temps, les 2 peuvent suivre le travail de 3 pendant un moment, mais ne sera pas aussi bien fait. Pourquoi alors avoir embauché 3 personne au début ?. y'a une réponse à tout !

Finalement le lycée c'est pas si mal xD

#32 Oui, mais c'est pas elles qui décident et si la direction dit pas d'embauche, c'est pas d'embauche, point. #3 Comment un service de 3 personnes devient en sur effectif ? Délocalisation, ça te parle ?

VDM ça c'est sure surtout pour celui qui va étre virer :-/

Un patron qui crée des emplois, c'est plutôt sympa, non ? Surtout quand on est au chomage. On est bien content de trouver quelqu'un qui monte sa boite et embauche. Il prend des risques alors que le salarié, si ça ne marche pas, il touche le chomage. Le patron, il lui reste les dettes à payer toute sa vie parfois. Une fois que le patron nous a embauché, c'est donnant donnant. Je bosse, il paye. Je bosse bien, il paye bien. Je bosse mal... il continue de payer. Y a plus de boulot... il doit continuer à me payer à rien faire ? Mieux vaut un patron qui embauche pendant 1 ou 2 ans s'il n'a du boulot que pendant cette période. C'est mieux que de rester au chomage. C'est un peu facile de rester salarié et de remercier celui qui a fournit un boulot et un salaire par des grèves dès qu'un licenciement survient faute de travail.

#8 : Ca fait une éternité que je n'ai pas lu quelque chose d'aussi con...

#38: oui, mais la boite du patron elle se fait , sur le moyen et long terme, un peu beaucoup grâce au boulot des salariés... alors, c'est aussi "un peu (trop) facile" de balancer une personne devenue subitement du surplus inutile ( pour cause de bon boulot, en plus, si on lit cette VDM) à la première difficulté. Mais je suis sure que si ça t'arrivait à toi, tu serais tout aussi large d'esprit.... Tu n'aurais qu'à te porter volontaire tout de suite, tiens :-P. Autant mettre en pratique ta philosophie... à moins que tu ne sois toi même employeur, bien sur. Quand à faire grève pour garder son travail.... en l'occurrence ( dans ce cas précis, quoi) il est pas question de ça... et quand il s'agit de dizaines de salariés pour de grands groupes... c'est un autre débat, loin lui aussi d'être résolu par ta vision quelque peu simpliste et idyllique.

#40 A la base d'une entreprise il y a toujours un entrepreneur qui a l'idée, le courage de la créer. Les salariés viennent toujours après, chronologiquement parlant. On a souvent vu des entreprises unipersonnelles, c'est à dire sans salarié mais uniquement un "patron". On n'a jamais vu des salariés sans patron. Au delà de ça, je suis d'accord avec toi, le patron a besoin des salariés pour faire grandir sa boite. Mais il ne faut pas oublier deux choses : 1- en échange du travail fourni, le patron paye ses salariés. C'est un contrat. Chacun est libre de l'accepter. 2- là où je ne suis pas d'accord, c'est quand tu dis qu'une boite se fait beaucoup grâce aux salariés. En effet, on peut remplacer un salarié sans que la boite coule. On peut difficilement remplacer un patron. Bien sûr, beaucoup de salariés pensent que le boulot du patron est facile. Mais dans ce cas, pourquoi ne font-ils pas patron au lieu de se plaindre qu'ils ont la mauvaise place ? Pour info, j'ai occupé beaucoup de statuts différents, ce qui m'a permis de comparer largement les avantages et les inconvénients. J'ai appris qu'il y a de bons et mauvais chefs/patrons mais qu'il y a aussi de mauvais employés/ouvriers. J'ai appris que les bons éléments sont ceux que l'on conserve le plus longtemps quand il y a des licenciements dans l'air. Et j'ai appris aussi que c'est le patron qui embauche, qui il veut, quand il veut et que c'est lui qui paye. J'ai appris à être reconnaissant envers les patrons qui m'ont donné ma chance, et j'ai compris que l'embauche proposée n'était pas un emploi garantie à vie quelque soit la qualité de mon travail ou les réalités économiques. Je travaille, il me paye. Le contrat s'arrête là.

Ça c'est malin...