C'est ce qu'on appelle être doué ;D Enfin , de mon côté j'ai rien à dire ... Bref VDM , etre boulet à ce point ... =D

Mais pourquoi personne ne vérifie dans un dictionnaire avant de lancer des corrections fausses ? J'ai changé le « rassie » en « rassise » parce que c'est la forme correcte, « rassie » étant familier. « Rassis(e) » vient de « rassir », pas « rasseoir ». Si une VDM propose : « Il faut que l'eau bouille », vous corrigerez ce subjonctif aussi sans vérifier ?

Eh l'auteur!! si tu suis les commentaires tu peux nous donner la suite?? Tu t'es fait reperer par des collegues qui auraient lu la VDM??

Je compatis, çà m'est arrivé aussi (enfin pas sur tout l'avant bras, juste un doigt !!

elle est trop cette vdm xD

#9 Pour revenir sur la question "pourquoi rit-on quand quelqu'un tombe", Bergson a esquissé une réponse dans un essai tout à fait intéressant sur le rire. (tous les moyens sont bons pour se cultiver un peu! http://classiques.uqac.ca/classiques/bergson_henri/le_rire/Bergson_le_rire.pdf) "Un homme, qui courait dans la rue, trébuche et tombe : les passants rient. On ne rirait pas de lui, je pense, si l’on pouvait supposer que la fantaisie lui est venue tout à coup de s’asseoir par terre. On rit de ce qu’il s’est assis involontairement. Ce n’est donc pas son changement brusque d’attitude qui fait rire, c’est ce qu’il y a d’involontaire dans le changement, c’est la maladresse. Une pierre était peut-être sur le chemin. Il aurait fallu changer d’allure ou tourner l’obstacle. Mais par manque de souplesse, par distraction ou obstination du corps, par un effet de raideur ou de vitesse acquise, les muscles ont continué d’accomplir le même mouvement quand les circonstances demandaient autre chose. C’est pourquoi l’homme est tombé, et c’est de quoi les passants rient. ... Ce qu’il y a de risible, c’est une certaine raideur de mécanique là où l’on voudrait trouver la souplesse attentive et la vivante flexibilité d’une personne." Et chez Baudelaire, c'est l'idée de supériorité du rieur sur l'objet du rire: "Pour prendre un des exemples les plus vulgaires de la vie, qu’y a-t-il de si réjouissant dans le spectacle d’un homme qui tombe sur la glace ou sur le pavé, qui trébuche au bout d’un trottoir, pour que la face de son frère en Jésus-Christ se contracte d’une façon désordonnée, pour que les muscles de son visage se mettent à jouer subitement comme une horloge à midi ou un joujou à ressorts ? Ce pauvre diable s’est au moins défiguré, peut-être s’est-il fracturé un membre essentiel. Cependant, le rire est parti, irrésistible et subit. Il est certain que si l’on veut creuser cette situation on trouvera au fond de la pensée du rieur un certain orgueil inconscient. C’est là le point de départ : moi, je ne tombe pas ; moi, je marche droit ; moi, mon pied est ferme et assuré. Ce n’est pas moi qui commettrais la sottise de ne pas voir un trottoir interrompu ou un pavé qui barre le chemin." (http://baudelaire.litteratura.com/ressources/pdf/oeu_27.pdf) (d'ailleurs ces 2 essais permettraient d'analyser pas mal de VDM, je pense)

xD pinèse; mais elle était en quoi la baguette? enfin VDM pour toi ^^

#34 waw... il y a vraiment des gens qui s'amuse à écrire sur "pourquoi on rigole quand quelqu'un tombe"... " Ce n’est donc pas son changement brusque d’attitude qui fait rire, c’est ce qu’il y a d’involontaire dans le changement, c’est la maladresse" Naaaaaaannnnnnn sans blague, putain il m'a éclairé là, j'aurais jamais deviné tout seul! ^^

C'est la vie. Un jour tu t coupera avec du pain de mie ^^

Tu voulais la manger ta baguette ??