Un client poursuivi en justice par Quick à cause d’un asticot

Quick n’apprécie pas vraiment qu’on critique ses frites.
Il y a quelques jours, un père de famille commande des frites au Quick de Seraing, en Belgique. Dans son paquet, il retrouve une larve de mite alimentaire (allez, bon appétit), et décide de filmer le petit asticot avant de diffuser la vidéo sur Facebook. Bien joué !
Rapidement, les images font le tour de la toile. Mais vous vous en doutez, ce n’est pas le genre de publicité qui plaît. Quelques jours plus tard, la gérante du fast-food demande alors à l’homme de supprimer la vidéo. Selon elle, ces images auraient généré une baisse de 30 à 40 % du chiffre d’affaires et de fréquentation. Eh ouais, ça fait beaucoup. Le père de famille refuse, estimant être dans son bon droit.
Aujourd'hui, Quick a décidé d’attaquer en justice ce justicier des frites, réclamant 10 000 euros au titre de préjudice subi. La décision sera donnée fin novembre.
En tout cas, grâce ou à cause de lui, on ne remettra pas les pieds chez Quick de sitôt.
Donc quick ferait mieux de se poser des questions